Bisse du Sillonin
Je crois que je vais bientôt demander mon admission dans les "bloggueurs du week-end"
Mais en fait, je profite des week-ends prolongés... sans concours d'agility ou autres activités - et çà va changer sous peu !
Donc, ce matin j'ai profité de la fraîcheur relative pour passer du côté exposé au sud de notre vallée. J'ai choisi un petit bisse peu connu, à la limite de la forêt et des vignes.
Les bisses qui sont une autre particularité de notre région :
Véritables monuments historiques faisant partie du paysage valaisan depuis le XIVe siècle, les bisses sont les témoins d'une véritable épopée de la vie économique et sociale du canton. Leur construction était destinée à assurer l'irrigation des prairies pour l'obtention du fourrage nécessaire à l'élevage des bovins. Certains de ces ouvrages sont spectaculaires et enjambent des parois vertigineuses. La plupart de ceux-ci ont disparu, victimes de la modernisation et de la transformation économique. Au début de ce siècle, on dénombrait encore plus de 200 bisses, du sommet de la vallée de Conches au Bas Valais. Cela représentait quelque 1800 km de canaux, construit de la main de l'homme et quelques fois au péril de leur vie.
La luminosité était superbe, ce qui a donné de magnifiques photos.
Le papillon azuré bleu céleste (qui porte bien son nom)

et un coquelicot qui me faisait de l'oeil tous les matins

Les autre je les ai mis dans un diaporama. Vous retrouverez mon itinéraire sur le bisse du Sillonin et les fleurs photographiées en chemin ou à mon retour.

Donc, ce matin j'ai profité de la fraîcheur relative pour passer du côté exposé au sud de notre vallée. J'ai choisi un petit bisse peu connu, à la limite de la forêt et des vignes.
Les bisses qui sont une autre particularité de notre région :
Véritables monuments historiques faisant partie du paysage valaisan depuis le XIVe siècle, les bisses sont les témoins d'une véritable épopée de la vie économique et sociale du canton. Leur construction était destinée à assurer l'irrigation des prairies pour l'obtention du fourrage nécessaire à l'élevage des bovins. Certains de ces ouvrages sont spectaculaires et enjambent des parois vertigineuses. La plupart de ceux-ci ont disparu, victimes de la modernisation et de la transformation économique. Au début de ce siècle, on dénombrait encore plus de 200 bisses, du sommet de la vallée de Conches au Bas Valais. Cela représentait quelque 1800 km de canaux, construit de la main de l'homme et quelques fois au péril de leur vie.
La luminosité était superbe, ce qui a donné de magnifiques photos.
Le papillon azuré bleu céleste (qui porte bien son nom)

et un coquelicot qui me faisait de l'oeil tous les matins

Les autre je les ai mis dans un diaporama. Vous retrouverez mon itinéraire sur le bisse du Sillonin et les fleurs photographiées en chemin ou à mon retour.